Lot n° : 1146 | Estimation : 40 - 60€
Coiffure. [Haute Coiffure]. Paris, Claude Maxime, [1981-1989].
57 photographies (225 x 180 mm), conservées dans une boîte à rabats aimantés illustrée de deux photographies.
Réunion de 59 photographies promotionnelles en noir et blanc (y compris les deux ayant servi à décorer la boîte), présentant des coiffures féminines et masculines de Claude Maxime. La plupart de ces photographies, destinées à des franchises ou des coiffeurs indépendants, portent une présentation tapuscrite au dos. Elles sont datées de 1981 à 1990. Intéressant témoignage d’un marketing coiffure.
On y joint : La Coiffure de Paris. 1951-1952. In-8 cartonnage toile rouge, dos lisse, pièce de titre bleu marine. Petits frottés et petite tache au second plat.Réunion des années 1951 et 1952, soit 24 numéros, de ce journal professionnel mensuel publié par le Syndicat de la coiffure professionnel. Il n'a été conservé que les couvertures et les douze pages qui montrent les portraits photographiés en noir et blanc avec le nom du coiffeur. Apparaît une couverture en couleurs à partir de novembre 1952.
Lot n° : 1146
Résultat à venir
Coiffure. [Haute Coiffure]. Paris, Claude Maxime, [1981-1989].
57 photographies (225 x 180 mm), conservées dans une boîte à rabats aimantés illustrée de deux photographies.
Réunion de 59 photographies promotionnelles en noir et blanc (y compris les deux ayant servi à décorer la boîte), présentant des coiffures féminines et masculines de Claude Maxime. La plupart de ces photographies, destinées à des franchises ou des coiffeurs indépendants, portent une présentation tapuscrite au dos. Elles sont datées de 1981 à 1990. Intéressant témoignage d’un marketing coiffure.
On y joint : La Coiffure de Paris. 1951-1952. In-8 cartonnage toile rouge, dos lisse, pièce de titre bleu marine. Petits frottés et petite tache au second plat.Réunion des années 1951 et 1952, soit 24 numéros, de ce journal professionnel mensuel publié par le Syndicat de la coiffure professionnel. Il n'a été conservé que les couvertures et les douze pages qui montrent les portraits photographiés en noir et blanc avec le nom du coiffeur. Apparaît une couverture en couleurs à partir de novembre 1952.