Lot n° : 1206 | Estimation : 3000 - 4000€
[ARGENSON (Marc-René de Voyer marquis d')]. Correspondance galante. A l'encre du temps sur la chemise de papier bleu : Lettres de Mesdames xx à M. du Voyer. 1765-1779. Ensemble 90 lettres manuscrites.
Belle correspondance d'une femme au XVIIIe siècle dont les quatre-vingt lettres manuscrites offrent toute la gamme du sentiment amoureux.
L'illustre destinataire qu'elle nomme "mon cher cousin" est le marquis Marc-René de Voyer d’Argenson (1722-1782) dont les plis portent encore le nom, le cachet de cire rouge et les adresses rue des bons enfans à Paris, Versailles, les Ormes et Asnières où il confia la construction d'un nouveau château à Jacques Hardouin-Mansart, architecte du roi, suite à sa nomination par Louis XV à la direction générale des Haras de France.
Fils du comte d'Argenson (1696-1764), ministre de la Guerre de 1742 à 1757, le jeune marquis fut par ailleurs général et inspecteur général de la cavalerie et membre de l'Académie de peinture et de sculpture.
On joint une dizaine de pièces supplémentaires, dont deux lettres autographes du marquis de Voyer, l’une d’amour, l’autre suggérant une rupture, et une lettre à la fille naturelle d’une ancienne maîtresse de Voyer, Mme de Norbeck.
Lot n° : 1206
Retiré
[ARGENSON (Marc-René de Voyer marquis d')]. Correspondance galante. A l'encre du temps sur la chemise de papier bleu : Lettres de Mesdames xx à M. du Voyer. 1765-1779. Ensemble 90 lettres manuscrites.
Belle correspondance d'une femme au XVIIIe siècle dont les quatre-vingt lettres manuscrites offrent toute la gamme du sentiment amoureux.
L'illustre destinataire qu'elle nomme "mon cher cousin" est le marquis Marc-René de Voyer d’Argenson (1722-1782) dont les plis portent encore le nom, le cachet de cire rouge et les adresses rue des bons enfans à Paris, Versailles, les Ormes et Asnières où il confia la construction d'un nouveau château à Jacques Hardouin-Mansart, architecte du roi, suite à sa nomination par Louis XV à la direction générale des Haras de France.
Fils du comte d'Argenson (1696-1764), ministre de la Guerre de 1742 à 1757, le jeune marquis fut par ailleurs général et inspecteur général de la cavalerie et membre de l'Académie de peinture et de sculpture.
On joint une dizaine de pièces supplémentaires, dont deux lettres autographes du marquis de Voyer, l’une d’amour, l’autre suggérant une rupture, et une lettre à la fille naturelle d’une ancienne maîtresse de Voyer, Mme de Norbeck.