Lot n° : 1218 | Estimation : 180 - 200€
BRÖNDSTED (Peter Oluf). The Bronzes of Siris now in the British Museum. An archaeological essay. Londres, W. Nicol, 1836.
Grand in-folio, [4]-52-[4] pp., avec 2 vignettes et 5 planches hors-texte sous serpentes, demi-veau vert, dos lisse orné de filets et guirlandes dorés en tête et en queue, coins en vélin vert (reliure de l’époque). Qqs frottés aux plats. Bon exemplaire.
L'archéologue danois Peter Oluf Bröndsted (1780-1842) avait entrepris des voyages d'initiation en Italie (1808), et surtout en Grèce (1810, avc l'expédition Stackelberg). Il ne revint à Copenhague qu'en 1813, après avoir effectué de nombreuses fouilles et rapporté un matériel documentaire important que l'exiguïté des institutions intellectuelles danoises ne lui permit pas d'exploiter. Aussi, après un autre séjour italien (1818-1821), il se fixa en 1826 à Londres, puis en 1828 à Paris. Et c'est dans ces deux capitales qu'il publia la plupart de ses travaux, même une fois définitivement retourné à Copenhague à partir de 1832.
Seulement trois exemplaires au CCF (BnF, INHA et Strasbourg).
Lot n° : 1218
Retiré
BRÖNDSTED (Peter Oluf). The Bronzes of Siris now in the British Museum. An archaeological essay. Londres, W. Nicol, 1836.
Grand in-folio, [4]-52-[4] pp., avec 2 vignettes et 5 planches hors-texte sous serpentes, demi-veau vert, dos lisse orné de filets et guirlandes dorés en tête et en queue, coins en vélin vert (reliure de l’époque). Qqs frottés aux plats. Bon exemplaire.
L'archéologue danois Peter Oluf Bröndsted (1780-1842) avait entrepris des voyages d'initiation en Italie (1808), et surtout en Grèce (1810, avc l'expédition Stackelberg). Il ne revint à Copenhague qu'en 1813, après avoir effectué de nombreuses fouilles et rapporté un matériel documentaire important que l'exiguïté des institutions intellectuelles danoises ne lui permit pas d'exploiter. Aussi, après un autre séjour italien (1818-1821), il se fixa en 1826 à Londres, puis en 1828 à Paris. Et c'est dans ces deux capitales qu'il publia la plupart de ses travaux, même une fois définitivement retourné à Copenhague à partir de 1832.
Seulement trois exemplaires au CCF (BnF, INHA et Strasbourg).